Les mésanges : symbole du jardin

Publié le 9 juin 2024 à 12:00

Les mésanges sont des petits oiseaux fascinants, largement répandus en France et appréciés tant par les ornithologues que par les amateurs de nature. Dans cet article, nous allons explorer les généralités sur ces charmants passereaux avant de détailler quatre espèces emblématiques : la mésange bleue, la mésange noire, la mésange charbonnière et la mésange huppée.

Généralité

Le terme "mésange" est un nom vernaculaire ambigu en français désignant différents groupes de passereaux. Historiquement, les mésanges ont été regroupées dans la famille des Paridae, qui inclut encore aujourd'hui la majorité des espèces. Toutefois, des réarrangements taxinomiques ont exclu certaines espèces de cette famille, comme les Aegithalidae (les « mésanges à longue queue » ou « tupinets »), les Remizidae (les « rémiz ») et les Panuridae (les « panures »).

 

Le nom "mésange" provient du francique "meisinga", qui signifie probablement « mésange », dérivé de l'ancien haut allemand "meisa" ou "maisa", un adjectif signifiant « menu ». En anglais, le nom "tit" fait également référence à cette petite taille. Le nom italien "cincia" imite le cri de l'oiseau, tandis que le nom espagnol "herrerillo" (« petit forgeron ») fait référence au cri métallique de certaines mésanges.

 

Les mésanges sont de petits oiseaux actifs, au bec court et à la forme assez trapue. Elles sont principalement insectivores et granivores, ce qui signifie qu'elles se nourrissent d'insectes et de graines. Les mâles et les femelles des mésanges se ressemblent beaucoup, et les jeunes oiseaux ressemblent également aux adultes. Ces oiseaux nichent généralement dans des trous d'arbres, mais ils utilisent souvent des nichoirs ou d'autres cavités dans les jardins.

Un aspect intéressant des mésanges est leur sociabilité. Beaucoup d'espèces sont très sociables et fréquentent volontiers les mangeoires en hiver, offrant ainsi aux observateurs de magnifiques opportunités de les voir de près.

La Mésange Bleue (Cyanistes caeruleus)

À la suite d'études de systématique plus poussées en 2005, l'American Ornithological Society et la British Ornithologists' Union ont proposé de placer la mésange bleue dans un genre à part, Cyanistes. En 2009, la Commission de l’Avifaune Française a adopté ce changement, renommant ainsi l'espèce Cyanistes caeruleus.

 

La mésange bleue est sans doute l'une des mésanges les plus reconnaissables en France grâce à son plumage vibrant et coloré. Elle mesure environ 12 cm de longueur avec une envergure de 17-20 cm. Son dos est bleu-vert, ses ailes et sa queue sont bleu vif, et son ventre est jaune avec une bande médiane noire.

Cette mésange commune est facilement identifiable grâce à sa petite taille, ses fines pattes, son bec fin, et son plumage à dominante de bleu cobalt sur la calotte, les ailes et le dessus de la queue, jaune sur le poitrail et le ventre. Elle occupe préférentiellement les habitats pourvus de nombreux arbres et de verdure où elle trouve sa nourriture. Les forêts de feuillus et les bocages sont ses milieux de prédilection, mais elle fréquente aussi les parcs et les jardins.

 

Espèce européenne, elle partage son habitat avec d'autres espèces de mésanges, comme la mésange charbonnière, avec laquelle elle montre des différences dans la distribution spatiale et la niche écologique exploitée. Oiseau essentiellement insectivore et sédentaire, la mésange bleue est familière aux hommes et fait preuve d'une certaine tendance anthropophile, s'adaptant volontiers aux jardins des localités habitées, même dans les grandes villes.

Contrairement aux effectifs des mésanges spécialisées, plus impactés par la fragmentation des habitats, ceux de cette mésange généraliste sont globalement stables, voire en légère progression dans la majorité de l'Europe. Ces caractéristiques font de la mésange bleue l'une des espèces les plus emblématiques de l'avifaune européenne.

 

La mésange bleue est sociable et grégaire. L'adulte, toujours très actif, est sédentaire : il reste généralement toute l'année dans son environnement et ne change pas d'endroit comme le feraient, par exemple, une hirondelle ou une cigogne. Cependant, les mésanges bleues vivant dans les montagnes ou venant d'Europe centrale sont plus nomades, le nombre d'individus et les limites de leur distribution variant selon les saisons. Les individus subordonnés sont des migrateurs partiels, tandis que les individus dominants sont plus volontiers sédentaires.

Il existe plusieurs hypothèses pour expliquer cette variation intraspécifique de comportement migratoire partiel, corrélée au statut de l'individu dans la dominance et à son sexe : le bénéfice sélectif qui conduirait les mâles dominants à rester sédentaires pourrait être lié à leur meilleure résistance au froid (mortalité hivernale plus basse), mais aussi à la probabilité plus élevée de réussir à établir leur territoire reproductif au printemps.

 

Selon les saisons, le comportement des mésanges bleues diffère. Au printemps, elles se rencontrent par paires, manifestant un comportement territorial et social caractéristique de la période de reproduction, le succès reproducteur étant plus conditionné par la qualité de leur territoire que par la qualité parentale. En été, elles forment des clans familiaux comprenant généralement un couple dominant, des jeunes de l'année et quelques adultes « célibataires ». En automne et en hiver, elles se regroupent en bandes nombreuses, entreprenant des voyages plus ou moins étendus à la recherche de sites de nourriture.

 

La mésange bleue aime s'ébrouer dans les mares peu profondes pour rafraîchir son plumage ou pratiquer le bain de fourmis, permettant d'éliminer les nombreux parasites colonisant le plumage. Comme la mésange charbonnière, elle n'est territoriale qu'au moment de la reproduction. En dehors de cette période, elle devient plus sociable et s'associe aux autres mésanges en petits groupes plurifamiliaux. Les groupes hivernaux sont constitués de petits noyaux d’oiseaux résidents auxquels s’adjoignent des individus nomades erratiques.

 

La mésange bleue est monogame, mais une bigamie simultanée est régulière dans les habitats optimaux. Une étude sur la polygynie des mésanges conclut que ce mode de reproduction, présent chez 3 à 10 % des mâles, est à leur avantage, les copulations extraconjugales augmentant leur succès reproducteur sans qu'ils aient besoin d'intervenir dans l'élevage des jeunes. Un cas de polyandrie est associé à l'avantage pour la femelle d'éliminer le risque que le partenaire soit stérile et que tout l'effort maternel soit vain.

Elle se joint souvent aux rondes mixtes d’autres espèces (roitelet, grimpereau, mésange charbonnière et mésange à longue queue), jouant souvent avec cette dernière le rôle de « leader » et d'initiateur des déplacements.

 

Après avoir exploré en détail les caractéristiques et le comportement de la mésange bleue, tournons notre attention vers une autre espèce tout aussi captivante : la mésange noire. Bien que moins colorée, cette petite mésange n'en est pas moins intéressante, avec son plumage discret et son habitat préféré. Découvrons ensemble les particularités de la mésange noire.

 

La mésange noire (Periparus ater)

L'espèce a été décrite pour la première fois par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1758, sous le nom initial de Parus ater. Ce classement historique reflète l'importance de la mésange noire dans la compréhension des passereaux et de leur évolution.

La mésange noire est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Paridés. Cette petite mésange est fascinante à bien des égards, tant par sa morphologie que par son comportement.


La mésange noire est la plus petite des mésanges, mesurant environ 11 cm et pesant entre 8 et 10 grammes. Son plumage distinctif la rend facilement identifiable : une tête noire ornée de joues blanches et d'une tache blanche sur la nuque. Le dessus de son corps présente une teinte gris olivâtre, tandis que la partie inférieure est assez claire avec une nuance chamois rosé sur les flancs. Ses ailes arborent deux bandes blanches bien visibles, ajoutant à son charme discret. En été, la mésange noire se nourrit principalement d'insectes, tandis qu'en hiver, elle privilégie les graines, notamment celles des conifères. Ce régime alimentaire diversifié est un excellent exemple de l'adaptabilité de cette espèce.


La mésange noire est très sociable et sédentaire, bien qu'elle effectue parfois des déplacements erratiques pour exploiter au mieux les ressources en graines. Elle a également l'habitude de faire des provisions dans des caches. On peut la rencontrer en petits groupes, non seulement dans les résineux des parcs et jardins, mais aussi dans les forêts de feuillus. Elle est commune dans toute la France et habite l'ensemble de l'Europe, à l'exception des régions les plus nordiques.

La mésange noire zinzinule, son cri est un "tsi" flûté et son chant, assez sonore, se présente sous la forme "pitchou-pitchou-pitchou". Ce chant distinctif permet de l'identifier aisément, même lorsque l'oiseau est caché dans le feuillage.

 

La mésange noire établit son nid dans les trous des souches d'arbres ou les fissures de rochers, utilisant de la mousse recouverte de poils pour le confectionner. Elle pond généralement entre 8 et 9 œufs, principalement entre avril et juin, avec une à deux couvées par an. L'incubation dure environ 13 à 14 jours, et les oisillons s'envolent après 16 à 19 jours. Cette stratégie reproductive permet à l'espèce de maintenir ses populations stables malgré les défis environnementaux. La mésange noire est largement répandue à travers l'Europe, l'Asie et l'Afrique du Nord. Elle préfère les régions boisées, surtout les forêts de conifères, mais on la trouve également dans les forêts mixtes ou de feuillus et parfois dans les jardins. Cette flexibilité dans le choix de l'habitat contribue à son succès en tant qu'espèce.

 

Après avoir découvert les fascinantes caractéristiques de la mésange noire, tournons notre attention vers une autre espèce emblématique : la mésange charbonnière. Bien que plus grande et plus voyante, la mésange charbonnière possède des traits et des comportements tout aussi captivants. Explorons ensemble ses particularités.

 

La Mésange Charbonnière (Parus major)

La mésange charbonnière, au nom binominal taxinomique Parus major, est une espèce de passereaux de la famille des Paridés. Ce nom, décrit par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1758, avait déjà été utilisé par Francis Willughby au XVIIe siècle. L'espèce est représentée par 15 sous-espèces.

 

La mésange charbonnière est la plus commune et la plus grande des mésanges eurasiatiques. Facilement identifiable grâce à sa calotte et à sa cravate noires, son plumage où le jaune domine la rend particulièrement reconnaissable. Le dimorphisme sexuel est peu marqué, rendant les mâles et les femelles assez similaires visuellement.

 

Présente dans presque toute l'Europe, une grande partie de l'Asie et le nord-ouest de l'Afrique, la mésange charbonnière occupe une variété d'habitats incluant forêts, taïgas, parcs et jardins, pourvu qu'il y ait des arbres. Elle établit son nid dans des cavités d'arbres ou de murailles, mais utilise également les nichoirs. Bien que généralement sédentaire et fidèle à son territoire, l'espèce effectue parfois des migrations partielles, souvent dues à la surpopulation.

 


Son régime alimentaire est varié. Majoritairement insectivore pendant la période de reproduction, elle devient granivore le reste de l'année. Elle fréquente assidûment les mangeoires en hiver, recherchant principalement les graines de tournesol qu'elle savoure sur une branche proche avant de revenir chercher une nouvelle graine.


Grégaire, la mésange charbonnière vit en petits groupes en dehors de la période de reproduction. Bien qu'il lui arrive d'intimider ses congénères pour s'approprier une source de nourriture, elle est moins active dans les rondes de passereaux que d'autres espèces. Elle dort seule, dans une petite cavité ou un nichoir, souvent dans le même secteur, et en été, elle préfère le feuillage des arbres et des buissons. La mésange charbonnière est majoritairement sédentaire, mais certaines années, des migrations partielles ont lieu en automne, principalement en Europe centrale. Ce sont surtout les jeunes qui migrent, souvent en compagnie de mésanges bleues et noires. Le retour s'effectue entre février et avril, mais beaucoup ne reviennent pas dans leur région natale ou périssent en route. Ces migrations, dites "irruptives", sont probablement causées par des phases de surpopulation, par exemple après un hiver doux.


La mésange charbonnière bénéficie d'une protection totale en France depuis un arrêté ministériel de 1981, modifié en 2009. Il est interdit de la détruire, capturer, perturber ou détruire ses nids et œufs. Ces interdictions ne s'appliquent plus aux oiseaux nés et élevés en captivité depuis 2006 en application de la réglementation européenne.

 

Après avoir exploré les caractéristiques de la mésange charbonnière, il est intéressant de se pencher sur une autre espèce tout aussi fascinante, mais moins connue : la mésange huppée. Avec son apparence distinctive et ses comportements uniques, la mésange huppée ajoute une nouvelle dimension à notre compréhension de ces merveilleux oiseaux.

La Mésange Huppée (Lophophanes cristatus)

La mésange huppée, anciennement connue sous le nom de Parus cristatus, appartient à la famille des Paridés. Cet oiseau mesure 11,5 cm de long pour une masse de 10 à 13 g. Son plumage se distingue par une huppe noire très prononcée sur la tête, accompagnée d'un bandeau oculaire noir en forme de croissant de chaque côté. Une bavette et un collier noirs complètent sa parure. Le corps est brun roux sur le dessus et blanc crème sur le dessous. La femelle présente une huppe plus courte que celle du mâle. Les jeunes ont des parties blanches impures, un collier moins défini, un dos plus sombre et une huppe moins marquée.

 

 

La mésange huppée se nourrit principalement d'insectes et de larves qu'elle trouve dans les crevasses de l'écorce. En hiver, son régime alimentaire s'étend aux graines de conifères, de hêtre et aux baies de genévrier. Cet oiseau est sédentaire. Il peut rejoindre de petits groupes de mésanges en automne, mais préfère vivre en forêt et se trouve rarement proche des habitations. Elle vit principalement dans les forêts de conifères, mais on peut aussi la trouver dans des parcs et jardins riches en vieux arbres.


La mésange huppée est présente dans presque toute l'Europe, à l'exception de l'Irlande, de l'Italie, de certaines parties du Sud-Est et de l'extrême Nord. En Grande-Bretagne, elle est très rare et ne se trouve que dans l'est de l'Écosse.

 

 

Comme toutes les vraies mésanges, la mésange huppée est monogame et cavernicole, construisant son nid dans une cavité, souvent dans le bois pourri d'un arbre malade ou mort, ou dans un ancien gîte d'écureuil. Parfois, elle utilise des nids désaffectés de corvidés ou de rapaces. Le nid est aménagé avec des brindilles, feuilles, mousse, herbes, et parfois des plumes ou des poils. Elle niche jusqu'à 2300m d'altitude.

Durant la période des amours au printemps, le mâle redresse sa huppe et chante en inclinant sa tête. La première couvée est pondue en avril, suivie parfois d'une seconde en juin. Chaque couvée compte de 7 à 10 œufs blancs avec des taches marron. L'incubation, assurée par la femelle, dure de 13 à 15 jours. Les oisillons s'envolent après 16 à 20 jours et quittent le nid après 20 à 22 jours.

 


La mésange huppée émet souvent un cri répété ressemblant à un rire "huhuhuhuhu", précédé par un "zit" aigu. Son chant est caractérisé par une série sonore de "pitchou-pitchou-pitchou".


Comme beaucoup d'animaux dépendant du bois mort, la mésange huppée a souffert de la raréfaction des vieux arbres en forêt. Des études de la "Station ornithologique suisse" ont montré que la restauration de la quantité et de la qualité des bois morts et sénescents a permis une nette augmentation des populations de diverses espèces forestières, dont la mésange huppée, entre 1990 et 2008.


La mésange huppée bénéficie d'une protection totale en France depuis un arrêté ministériel de 1981 relatif aux oiseaux protégés. Il est interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Ces interdictions ne s'appliquent plus aux oiseaux nés et élevés en captivité depuis 2006.

 

Ainsi, la mésange huppée, avec son huppe distinctive et ses comportements variés, enrichit encore notre compréhension de la diversité des mésanges.

A retenir

Les mésanges, avec leur diversité de comportements et de morphologies, sont des joyaux de nos écosystèmes forestiers et urbains. Qu'il s'agisse de la mésange bleue (Cyanistes caeruleus) avec son plumage vif, de la mésange charbonnière (Parus major) si familière de nos jardins, de la mésange noire (Periparus ater) et son attrait pour les conifères, ou encore de la mésange huppée (Lophophanes cristatus) avec sa huppe distinctive, ces passereaux jouent un rôle essentiel dans la biodiversité.

Ces oiseaux, majoritairement insectivores pendant la période de reproduction, deviennent granivores le reste de l'année, fréquentant les mangeoires où ils trouvent des graines, surtout en hiver. À cette période, il est crucial de leur fournir de la nourriture adaptée, comme des graines de tournesol et des mélanges spécifiques pour oiseaux. Cette aide est particulièrement précieuse lorsque les ressources naturelles sont rares.

Cependant, il est important de cesser de les nourrir dès l'arrivée du printemps pour qu'ils retrouvent leur comportement naturel de recherche de nourriture et évitent toute dépendance excessive. En revanche, leur offrir de l'eau fraîche est une initiative bénéfique tout au long de l'année, surtout en période de chaleur.

En prenant soin de ces mésanges et en respectant leur cycle naturel, nous contribuons à la préservation de ces espèces tout en profitant de leur présence charmante et de leur rôle écologique dans nos environnements. Leur protection et leur bien-être dépendent de nos actions conscientes et respectueuses de leur habitat naturel.

Avant de partir :

La newsletter te permet de ne rater aucun article. Envoyée une fois par mois, elle condense tout le contenu publié sans spammer ta boite mail. Il y a aussi du contenu exclusif à y retrouver alors inscrit-toi dès maintenant, c'est gratuit !

Pour aller plus loin :

Toujours en mouvement, souvent familières, les mésanges animent nos jardins et nos forêts en toutes saisons. Rondelettes, munies de longues pattes, d'une tête forte - comme d'une forte tête ! -, d'un petit bec conique, elles fréquentent surtout les milieux arborés. Mais si elles sont très populaires, leur diversité est moins connue. Georges Olioso invite donc à la découverte des douze espèces européennes et de leurs particularités (répartition, moeurs...) Complet, précis et convivial, cet ouvrage est destiné à tous les publics. Les spécialistes enrichiront leurs connaissances tandis que les moins avertis pourront se familiariser avec cet oiseau si proche de l'homme.

 

Acheter le livre

La mangeoire à oiseaux est en plastique résistant aux intempéries. De plus, la colonne d'alimentation a une grande plaque collectrice qui collecte de manière fiable l'excès d'aliments pour oiseaux. Le sol a des trous d'évacuation de la pluie qui assurent l'évacuation de l'eau. Seul l'alimentation en grains convient au remplissage du distributeur d'aliments ! Utilisable pour nourrir les oiseaux sauvages toute l'année..

 

Acheter la mangeoire

Ajouter un commentaire

Commentaires

Il n'y a pas encore de commentaire.